Cœur d'une vie,

Ta bonne humeur règnera à jamais dans nos cœurs,

Et l'illuminera quand le soleil sera ton admirateur.

Que les anges t'amènent vers plus de douceurs,

De paix, de sérénité,

Là où tu seras, sera ta place, en sûreté, avec un peu plus de beauté...

On te regarde, là et l'on murmure l'amour,

L'on prie pour toujours...

Pour que l'on ne voit plus ta douleur, ni ta souffrance

Tout cela est une évidence...

Musique des sens...

Je parcourais sur la neige, nos pas...

Nos pas résonnant dans mes souvenirs

Te cherchant malgré moi,

Et mes soupirs...

Chacun de tes mots, même silencieux, m'atteignaient...

M'atteignaient le cœur au plus haut point.

Le tréfonds de mon amour est si profond

Que la blessure se confond...

Se confond même en mon âme,

Âme triste,

Âme qui s'enflamme...

Je persiste...

Chaque geste me ramène à toi,

Toi que j'adore, que j'idolâtre ?

Le feu de l'âtre,

Cette passion qui m'anime pour toi...

Je sais que je continuerais à t'aimer

Au fil du temps,

Et jusqu'à mon dernier souffle mon aimé...

Fais-moi partir à contre-sens...

Et cette douleur inimaginable,

Partira-t-elle ?

Tout était si adorable...

Je vois une coccinelle...

Oh quel bonheur ce merveilleux amour !

J'en dessinerais les pourtours...

Les pourtours de ton cœur,

Tes lèvres qui sont une exquise saveur...

Une saveur gourmande, insatiable,

Et toi si formidable...

Je te veux à l'infini,

L'infini des étoiles, l'infini de tout, l'harmonie...

Mon corps t''appelle,

Mes lèvres t'attendent...

Et mon amour forme une danse si sensuelle

Que mon âme est ivre de toi telle une sarabande...

Nos regards se cherchent,

Et le mien si intimidé...

Je me pose tout doucement ; je te touche

En une caresse légère, à l'abordée...

C'est un ange que j'ai vu ce jour-là...

Premier amour intense.

Oh mon Valentin, tu es enfin là !

Je t'attendais depuis si longtemps... et maintenant, tout prend enfin un sens...

Devant ce ciel bleu,

Je vois ton visage silencieux,

J'en fais un vœu

Pour que demeure cet amour délicieux...

Délicieux comme ce jour inoubliable

Où se sont mêlés nos corps insatiables...

Nos regards adorables,

Exquis ; où tout était si formidable...

Je voudrais m'incliner encore...

Comme les étoiles se pencher sur leurs lits,

Lit de velours, comme de l'or...

Livre de nos cœurs, toi et moi, c'est si joli...

Joli voyage qui me tente,

Où désirs, passion, me désorientent.

Toi qui m'enchante

Là où je ne veux plus qu'on m'invente...

Douce musique de mon cœur,

Je voudrais suivre son chemin

Pour rejoindre ce bonheur...

Bonheur qui me tend la main...

Et de mes ailes, je m'envolerai vers mon compositeur

Là où il m'a chuchoté ses douces notes...

Il me dorlote...

Dans sa chaleur, mon créateur...

Ton souvenir encore chaud à mon esprit,

De tes lèvres tu m'as pris,

De tes caresses tu m'as envoûtée...

Si je pouvais, encore je voudrais être désorientée...

Mes sentiments demeurent,

Et à l'écume des vagues, ils meurent...

Ta voix qui me chuchote

De ses douces et tendres notes...

Toi qui m'a appris l'amour

Tout d'un coup, tu es venu un jour...

J'aurais voulu y rester...

Dans ce si beau refuge avec intensité...

Nos cœurs battants à l'unisson,

Ta peau m'effleurant en de multiples frissons...

Je te vois encore et encore,

Je te cherche même quand je m'endors...

Arriverais-je à t'oublier ?

Tu es sans cesse là malgré moi...

Et pourtant je reste liée à toi

Comme une lumière éparpillée...

Une pétale de rose posée,

Toute éclose

A l'orée d'un bois, elle ose

Sur une feuille se recomposer...

Elle peint de sa couleur

Sa fraicheur...

Puis de son velours,

Elle en caresse sa beauté, pour toujours.

Elle en dessine ses pourtours,

Puis, tour à tour,

Sillonne sa douce rivière

Et s'en va dans sa clairière...

Chauds & tendres atours...

Petite fée s'élever dans ce crépuscule,

Et de ses ailes, suivant la libellule,

Apostrophe ces couleurs

Et les coiffe en mille-fleurs...

Mais quelle est donc cette voyageuse ?

Elle va, elle vient ;

Pare et sème de ses mains...

C'est une chuchoteuse...

De ses petits pas elle vagabonde

Dans cet immense et petit monde.

C'est une si petite femme

Dont les talents reflètent l'âme,

Elle en est la magicienne...