Regardez bien cette plage, tout ce bleu merveilleux,

Imaginez-vous. Puis,

Fermer les yeux, que vous soyez assis ou allongé(e),

Vous entendez les vagues ?

Elles vous murmurent leurs doux chants,

Leurs tendres clapotis qui viennent sur le sable doré et si fin,

Vous entendez la brise du vent ?

Elle vous caresse légèrement, elle vient et repart

Comme un aller-retour sans vraiment partir,

Elle vous berce, vous fait du bien.

Vous sentez le soleil ?

Il dessine sur vous, de ses rayons lumineux et chauds.

Pas trop chaud, juste ce qu'il faut.

Le temps idéal.

Pause.

Vous vous sentez bien, en rêvant de ce pays que vous créez.

Quand vous vous sentez fatigué(e), reposez-vous,

Et imaginez-vous dans cette petite bulle 

Qui vous procure du bien-être ;

Ce petit cocoon qu'on a tous besoin pour se régénérer.

Bienvenue dans ce monde de douceur et de tendresse,

Mais surtout de plaisirs infinis...

Aux milles et une lumières de Noël

Je vois dans le ciel l'Éternel...

Et des demoiselles

A la lueur des chandelles...

Aux milles couleurs de l'hiver

Je touche et espère les ombellifères...

Et erre dans la mer,

Tout un univers...

Aux milles éclats des étoiles

J'esquisse de mes doigts, des pétales

Où la chambre nuptiale

S'étale de tout son opale...

Aux milles merveilles de la nuit

Je dessine son lit,

Où ce qui est exquis

Reste inédit...

Ainsi la beauté habite partout

Quel que soit son bijou,

Et dans tout ses dessous

Il y a un rendez-vous...

Petite bulle d'étoiles luminescentes

Volent, caracolent

Devant mes yeux éblouis, séduite...

Tournent de charmantes petites lucioles

De son timbre chaud et grave,

Ce parfum délectable

Se trouve suave,

Si mémorable...

Cette musique tendre et envoûtante,

Qui vous laisse ondoyer, m'a ébahit...

Un océan où se mêle la magie,

Magie bouleversante...

Touchantes émotions

Où les pleurs sont à l'intérieur,

Doux moments de communion,

On se retrouve dans l'ailleurs...

Un infini partage qui se prolonge

Une rive d'amour qu'on longe

Sans pouvoir toucher le sentiment,

On aime immensément...

Et ces yeux revolvers qui nous tuent

On se sent dévêtues...

On espère, cher ami, 

Toujours ces instants exquis

Où l'on voit ces papillons, ces tournesols,

On s'affole...

On s'affole de ne plus vous revoir,

Toujours une biguine avec toi... tu nous désempares...