-
Par Lapetite Cigale le 6 Août 1991 à 23:29
Le parfum des roses m’enivre les narines
Que je n'ose la toucher...
Son odeur me blanchit
Mon bonheur
Que je n'ai fini
De la cueillir ;
Alors les pétales
S'ouvrent et se fanent
Jusqu'au jour
Où la fleur du matin
Se rendra belle, infiniment, pour toujours...
votre commentaire -
Par Lapetite Cigale le 6 Août 1991 à 23:15
Face à face dans la lumière du jour,
Regardons-nous dans ce ciel étoilé
Face au soleil,
Brillant comme l'étoile du petit berger.
Dis-moi ce que tu vois dans ce spectacle infini,
Éclairée par la foudre du coeur,
Donne-moi l'amour que je n'ai pas eu.
Au temps des violons,
Romantisme du soleil couchant.
L'homme que j'ai vu me paraissait
Grand, élancé avec son jogging assorti à ses yeux.
Sa bouche en forme de coeur me fendit en moi.
Lorsque je le vis,
Je m'approchais de lui.
L'amour que j'ai dans mon coeur me transperça.
La fin de cette mystérieuse histoire
Me blottit dans ses bras, me réfugiant en lui...
La confiance que j'ai ne me fait pas peur
Alors, je m'éloigne en rêvant cette histoire magique.
votre commentaire -
Par Lapetite Cigale le 5 Août 1991 à 23:13
La rosée du matin
M'éveille en douceur, tendresse...
Tu m'as trouvé
Dans une fleur émerveillée
Par le soleil
votre commentaire -
Par Lapetite Cigale le 5 Août 1991 à 21:26
Toi, la chaude lumière qui envahit mon corps,
Donne-moi l'amour qui est en toi ;
Illumine ma vie.
La rosée du matin
Se réveille en brûlant ma peau dorée ;
Toi qui m'a offert le goût de la vie,
L'eau de la mer,
Amer et salée ;
Dis-moi,
Pourquoi la vie n'est pas toujours rose tous les jours
Lorsqu'on en a besoin.
Cela est si beau, merveilleux
Qu'on a l'impression de rêver les jours tristes et ennuyeux...
votre commentaire -
Par Lapetite Cigale le 5 Août 1991 à 21:21
La couleur de tes yeux est de l'amour.
Quand tu me regardes attentivement
Je ne sais que penser ;
La lumière dans tes yeux
Ressemble à la chaleur de l'été.
Contre ton corps,
Là, la chaleur peut s'envahir quand elle veut,
Où elle veut.
Je voudrais être une petite bête
Pour te suivre là où tu vas.
Regarde-moi, toi,
Ces sentiments étrangers parcourent le long de mon corps.
votre commentaire -
Par Lapetite Cigale le 4 Août 1991 à 21:41
Ce coucher du soleil me semble si lointain...
Sa couleur me fait penser à l'exotisme,
C'est si sensuel...
La lune se couche au même moment que le soleil,
Cela me semble bizarre
La mer en est son reflet
Qui fait scintiller toutes les étoiles de la nuit.
Ce coucher du soleil commence à se lasser.
La lune de la nuit brille de milles éclats
Lorsque les étoiles apparaissent...
Le ciel devient sombre,
Les oiseaux s'envolent dans les nuages
Qu'on ne les voit plus.
Tout le monde admire, le soir, ce coucher du soleil
Qui resplendit de bonheur et de joie.
Cela me semble si intense,
Sa couleur me fait penser à l'été si chaud et troublant...
votre commentaire -
Par Lapetite Cigale le 4 Août 1991 à 19:59
La couleur de tes yeux est de l'amour.
Quand tu me regardes attentivement
Je ne sais que penser...
La lumière dans tes yeux
Ressemble à la chaleur de l'été.
Contre ton corps
Là, la chaleur peut s'envahir
Quand elle veut,
Où elle veut.
Je voudrais être une petite bête
Pour te suivre là où tu vas.
Regarde-moi, toi,
Ces sentiments étrangers
Parcourent le long de mon corps.
votre commentaire -
Par Lapetite Cigale le 3 Août 1991 à 21:37
Jamais je n'oublierais ce que tu m'as fait.
Toi, tu m'es apparu, comme ça, un jour
Et puis, je ne pouvais détacher mes yeux des tiens,
C'est comme ça que j'ai eu le coup de foudre.
Tu ne pourras jamais me comprendre;
Si un jour tu me dis que tu m'aimes
Je ne pourrais te croire ;
Ce serait un rêve exaucé par hasard, comme ça,
Sans comprendre ce qu'il se passe...
votre commentaire -
Par Lapetite Cigale le 3 Août 1991 à 21:30
Il suffit de siffler
Pour qu'ils répondent à cet appel mélodique ;
Le matin,
Dès le réveil,
Tu entends la douce mélodie des oiseaux,
Tu rêves en regardant les nuages dans le ciel,
Ce ciel est si bleu...
Le soleil éclaircissant la tristesse de la nuit,
Tu es au paradis,
Tu te sens voler dans les airs,
Un léger souffle au son des cloches
Comme des murmures qu'on entend au loin.
Tu es dans un monde imaginaire
Où l'on entend que le chant des oiseaux,
Et leurs douces mélodies...
Le soleil brille comme un diamant resplendissant de bonheur,
Respirant la joie
votre commentaire -
Par Lapetite Cigale le 3 Août 1991 à 21:27
Je savais que tu m'aimais.
Mais pourquoi, m'as-tu empêcher de le lui dire...
Ce rêve est si infini
Que j'ai l'impression d'être comme un nuage
Qui n'en fait qu'à sa tête.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique