• C’est l’histoire tragique de Grant Virgin, un jeune Américain de 16 ans, renversé par un automobiliste qui a pris la fuite.

    Grant est retrouvé quasi mort : Fracture de la colonne vertébrale, fracture du crâne, saignement dans le cerveau, traumatisme crânien, aorte déchirée. Sa peau est criblée de morceaux de verre et de gravier.

    Aux urgences, les médecins sont pessimistes. Selon eux, Grant a très peu de chance de s’en sortir vivant.

     

    Les médecins disaient : « laissez-le partir »

    Après plusieurs opérations chirurgicales, l’état de son corps est stabilisé. Mais Grant reste dans le coma. Les médecins n’ont rien pu faire pour son cerveau tant il est abimé. Grant a perdu ses fonctions cérébrales, il est incapable de parler.

    Le docteur déclare aux parents :

    - « Bien, maintenant, on va attendre. »

    – « Attendre ? » interrogent les parents.

    – « Oui, on va attendre. »

    – « Mais… il y a certainement quelque chose que nous pouvons faire ? »

    – « Non, nous ne pouvons rien faire. Nous devons juste attendre. Le cerveau a son propre rythme. »

    Un spécialiste, le docteur Julian Bailes explique : « Il n’y a pas de solution connue, il n’y a pas de médicament à proposer pour ce genre de patients. »

    Pour des parents, impossible d’attendre sans rien faire quand leur fils est entre la vie et la mort. Ils ne pouvaient pas le laisser dans cet état sans avoir fait tout ce qui était en leur pouvoir.

    Même un mouvement de paupières serait une victoire

    Dès cet instant, les parents de Grand Virgin furent prêts à tout. Ils voulurent tenter toutes les thérapies non-conventionnelles, y compris celles qui n’ont pas été testées à grande échelle. C’est ainsi qu’elle en est venue à s’intéresser aux traitements d’oméga-3 à haute dose.

    Car les acides gras oméga-3 représentent 30 % des phospholipides qui composent les membranes plasma du cerveau. Or lorsque ces membranes sont endommagées, les fonctions cognitives et la transmission synaptiquecessent de fonctionner normalement.

    D’où l’hypothèse qu’avec des oméga-3 à haute dose, le cerveau pourrait retrouver ses fonctions.

    Les parents de jeune Grant Virgin fondèrent ainsi tous leurs espoirs sur un traitement de choc : 20 g d’oméga-3 par jour.

    Et 48 heures après le début de ce puissant traitement aux oméga-3, Grant s’est mis à parler !

    Alors que les médecins le disaient « fini », Grant a retrouvé son activité intellectuelle : mémoire, conversation, humour, etc. Il a retrouvé la vue et tous ses sens. Il s’est remis à marcher et a pu rentrer chez lui. Aujourd’hui, Grant peu même pratiquer son activité favorite : le tennis de table.

    Bien sûr, le traumatisme est si grave que Grant ne retrouvera probablement jamais toutes ses fonctions. Mais il progresse tous les jours. Il a 18 ans maintenant et, qui sait, peut-être pourra-t-il un jour prendre son indépendance.

    En quoi les oméga-3 peuvent vous aider, vous aussi

    Leur principal apport :

    1) Les oméga-3 sont excellents pour le fonctionnement du cerveau.

    C’est grâce à le DHA (acide docosahéxaéonique), indispensable au fonctionnement du cerveau. Il participe à la transmission de l’influx nerveux entre les neurones.

    Ils permettent de ralentir le déclin cognitif avec l’âge. Le DHA a aussi des fonctions non spécifiques qui lui permettraient également de contribuer à un effet protecteur contre les maladies neurodégénératives, c’est-à-dire la maladie d’Alzheimer, le Parkinson, la sclérose en plaques et bien d’autres.

    Mais ce n’est pas tout :

    2) Le DHA joue un rôle fondamental dans le développement de la rétine.

    Un taux élevé de DHA limiterait de 68 % le risque de dégénérescence maculaire liée à l’âge, selon un article datant de février 2013.

    3) Le DHA intervient aussi dans la formation et la mobilité des spermatozoïdes.

    4) Les oméga-3 améliorent fortement le sommeil des enfants.

    Une nouvelle étude randomisée contre placebo conduite par l’Université d’Oxford indique que des niveaux élevés de l’acide gras oméga-3 DHA sont associés à un meilleur sommeil chez l’enfant et qu’un supplément d’oméga-3 chez les enfants qui dorment mal favorise le sommeil.

    Les enfants qui ont pris des oméga-3 ont dormi près d’une heure (58 minutes) de plus et ont eu 7 fois moins d’épisodes d’éveil par nuit que les enfants qui prenaient un placebo.

    5) Les oméga-3 du poisson diminuent le risque de diabète et d’infarctus.

    Des études montrent que les acides gras oméga-3 présents dans les poissons gras diminuent le risque d’infarctus.

    Les hommes qui mangent le plus de poissons gras, riches en oméga-3, ont moins de diabète de type 2. C’est le résultat d’une petite étude finlandaise qui paraît dans Diabetes Care et qui a comparé les concentrations sanguines en oméga-3 avec l’incidence du diabète.

    Comprendre les différents oméga-3 une fois pour toutes

    Les oméga-3 sont appelés acides gras « essentiels » parce que votre corps ne peut pas les fabriquer lui-même.

    Ces substances ont des effets favorables sur la composition des membranes cellulaires ainsi que sur de nombreux processus biochimiques de l’organisme, notamment la régulation de la tension artérielle, l’élasticité des vaisseaux, les réactions immunitaires et anti-inflammatoires, et l’agrégation des plaquettes sanguines.

    Ce que votre corps recherche dans les oméga-3, c’est l’EPA et le DHA.

    Les plantes riches en oméga-3 (comme le lin) ne vous fournissent pas directement d’EPA et de DHA. Mais grâce à l’enzyme delta-6-désaturase, vous pouvez synthétiser de l’EPA et du DHA à partir des oméga-3 des plantes.

    Malheureusement, en vieillissant, votre corps produit de moins en moins de delta-6-désaturase.

    Le delta-6-désaturase est également perturbé par un niveau important d’insuline, une situation qui touche un très grand nombre de personnes dans nos pays, en fait la majorité des personnes adultes qui continuent à manger trop de glucides. Vous pouvez être quasiment sûr que vous avez trop d’insuline si vous êtes en surpoids, si vous avez un excès de graisse abdominale, ou si vous avez un diabète ou pré-diabète.

    La réalité est que, peu à peu, votre corps ne métabolise plus les oméga-3 des plantes que vous prenez dans votre nourriture.

    C’est là qu’il devient capital de manger directement de l’EPA et du DHA. Or, ils ne se trouvent que dans certaines graisses animales.

    Oméga-3 dans les poissons et crustacés

    Les meilleures sources d’EPA et DHA sont les poissons gras et les crustacés. Attention de choisir cependant les animaux qui se trouvent le plus bas possible dans la pyramide alimentaire, c’est-à-dire en général les plus petits (huile de krill, anchois, sardines plutôt que thon et saumon).

    En effet, les effets bénéfiques des omégas-3 issus des poissons peuvent être anéantis par la présence de mercure et de dioxine. Bien que présents à tous les échelons de la chaîne alimentaire, ils sont en concentration beaucoup plus forte chez les animaux qui se sont nourris d’animaux qui se sont nourris d’animaux, etc., un grand nombre de fois (bio-accumulation).

    L’huile de krill est une source d’oméga-3 particulièrement intéressante.

    « Krill » signifie en norvégien « nourriture de baleines ». Il s’agit d’une petite crevette grande de quelques centimètres qui vit dans les eaux froides des océans.

    Le krill représente la plus grande biomasse animale sur terre. Pas moins de 500 millions de tonnes de krill arpentent les mers des deux pôles à l’heure où je vous écris.

    Contrairement aux espèces de gros poissons, le krill n’est pas (encore) menacé par la surpêche.

    Quelle quantité prendre ?

    Il faut compter 1 g d’huile de krill par jour. C’est la quantité nécessaire pour assimiler l’apport minimal de 500 mg par jour d’EPA et DHA pour le maintien d’une bonne santé cardiovasculaire.

    Notez toutefois que si vous prenez une huile de poisson, il faudra compter 3 ou 4 g pour arriver au même résultat.

    Attention aussi car les huiles de poisson sont fragiles. Veillez à ne pas les consommer rances et à toujours les conserver au réfrigérateur.

    Dans le cas du krill, la présence d’astaxanthine, un anti-oxydant très puissant, empêche les lipides de s’oxyder — en plus de combattre les radicaux libres dans votre corps. Les gélules d’huile de krill se conservent donc mieux dans le temps.

    Pour vous procurer de l’huile de krill riche en oméga-3, rendez-vous ici.

    Bien à vous,

    Eric Müller

    Néo nutrition

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  • En surfant sur mon mur de Facebook, je découvre un article sur les Oméga-3... Un couple dont le fils est à l'article de la mort, décident de lui en administrer, ne voulant pas le laisser ainsi dans le coma! les médecins dubitatifs...

    J'ai découvert ainsi une huile que je ne connais pas du tout, dont on ne connait certainement pas en France... C'est l'huile de Krill...

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