Dans les bras d'un homme,

Sa douce et tendre chaleur,

Ce si  beau refuge qui nous embaume,

Sa protection qui nous rassure, quel bonheur !

Son parfum envoûtant,

Ses mains qui nous caressent d'amour,

Son regard nous dévisageant comme si on était le soleil, son élément...

Sa peau que l'on respire, tentant...

Notre parfum qui l'ensorcèle,

Puis nos mains qui se lient, gestes naturels...

Nos regards accrochés dans un autre univers

Et nos corps qui s'enlacent, jamais éphémère !

Puisse le temps nous laisser nous aimer

Comme tous les instants si précieux...

C'est de l'or le présent, le merveilleux...

Affamés d'amour nous sommes ; toujours ces plaisirs parfumés...

Plume délicate et sensuelle,

Pages blanches qui se remplissent de mots

Où le bleu de mes yeux y voit l'éternel,

Le rose de ma bouche touche des joyaux...

Mes doigts courent le long de ce voyage

Y dessinant le rêve,

Effleurent des paysages ;

Et cet homme qui bouleverse le tréfonds de mon âme, jamais ne s'achève...

J'y vois là un signe.

Ma passion qui se multiplie...

Mes écrits qui plaisent, c'est ma douce folie !

Et mon visage incliné, j'imagine, voguant un cygne...

Cette étoile qui scintille dans le creux de la nuit ;

Parmi elles, sont des bijoux éclairés...

Petites lumières qui luient

Dans le velours du ciel bigarré...

Une goutte, une larme,

Comme une perle au coin des yeux,

Une soudaine tristesse, je rends les armes,

Mais tout reste merveilleux...

Un monde de rêve où tout m'apparait beau ;

Coup de cœur, coup d'amour,

Je suis dans ma tour

Où les sillages coulent dans un doux berceau...

Je l'ai vu un jour, tout à coup...

Il m'a touchée, émue, remuée le fond de mon âme...

Et parfois je me sens comme une flamme qui s'enflamme...

Son image me suit presque partout...

Je m'envole...

C'est un ange qui me l'a dit...

Entourée de tournesols,

Je me vois en une milady...

Et toutes ces lumières qui se parent,

Elles s'entrecroisent pour en former un art,

Je suis dans leurs cercles dont le cœur

Se compose de merveilles et d'un compositeur...

Bisous du coin des lèvres,

Parfumés, sucrés, envoûtants de délices

Qui glissent vers la fièvre,

Je dessine ce qui est lisse...

Doux parfum d'amour,

Tendres poésies...

Je t'écris de mes doigts tes alentours

Et ton trésor caché bien enfoui de fantaisies...

J'attends ton sensuel message

Qui ne saurait venir...

Mon seul naufrage,

C'est cette plage où sont nos soupirs...

Chansons où demeurent toutes ces notes secrètes,

Le murmure de nos voix muettes,

Nos regards liés l'un à l'autre

Mais non pas comme un apôtre !

Laisse glisser le soleil

Telle la chaleur qui sommeille...

Que de jolies fées, le long de ce chemin brodés 

De verts, d'ors et de lumières...

Le vent les menant à l'abordée,

Leurs doux sillages éphémères

Qui nous emportent au loin,

Près d'un paradis lointain.

Une eau jaillit, une fontaine...

Apparait une sirène...

Un miroir où ses longs cheveux bruns

Ruissellent, posent et se parent de milliers petits éclats ;

Chevelure de satin

Qui brille, moment délicat...

Pause sensuelle où son corps s'incline,

Demande coquine !

Mais instant unique

Où le merveilleux reste une image magnifique...

Voyage qui m'a permit de découvrir le blog

Là où je vogue,,

Par tant de plaisirs à écrire et à lire,

Recevoir des visiteurs, c'est un empire !

Des sourires, des soupirs d'envies

Des soupirs d'extases,

Le regard qui vit,

Toutes ces phrases que l'on respire

Et qu'on rêve...

Délicieux et merveilleux partages,

Tous ces moments uniques qui nous encouragent,

Puis l'instant d'après s'achèvent...

Et tout recommence au départ,

Jour après jour devient un art,

Un art qui s'apprend, s'apprivoise

Dans un ciel tendre et turquoise...

Regarde là, l'étoile des anges

Elle pleut au-dessus de nous,

Il y a un losange d'archanges

Et le cercle d'un loup...

Ses yeux dorés, au creux de la nuit

Tout droit venu de l'ombre,

Fabuleux animal aux multiples esprits

Où le ciel est toujours dans la pénombre...

Puis quand vient la lumière,

Elle rayonne de tous ses éclats,

Éclaire les tendres halos de ces petits minois...

Les enveloppe de couleurs argents et divers...

Le bleu de la nuit nous rappelle ces rêves...

Rêves qui vite s'achèvent...

Mais les plus beaux restent à long terme,

Ce doux voyage à Palerme...

Où le soleil ruisselle,

A l'aube une fée se révèle.

Un torrent d'eau clair pur

L'éclaire de sa sulfure.

Son reflet de cristal

Fragile comme une opale,

Se dessine,

Se cristallise, me fascine...

Une douce noce nuptiale s'est créée,

Une note musicale tendre en guillemets...

Une étoile scintille,

C'est elle, elle qui habille...

Vers ce sentier lumineux

Vert et doré comme de l'or gracieux.

Se promène le printemps

En de multiples petits océans.

Les senteurs innocentes,

Dégageant le miel sucré, enchantent...

Paradis enchanteur,

Que vienne le penseur...

Je ne vois point tes mains pour te caresser

Je ne vois point tes yeux pour t'aimer

Je ne vois point ton corps pour te dessiner

Mais je vois dans mon cœur que je te désire...

Un ange des étoiles m'a dit : "lumière de saphir",

Alors je t'attendrais dans mon rêve et avec des lyres,

Des soupirs,

Que m'emporte le zéphyr...

L'audace, le courage fugace !

L'audace, je rêvasse.

L'audace qui m'enlace

Et l'impertinence qui me fracasse !

Comme j'imagine qu'elle m'embrasse

Telle une rosace...