• Qui ne tente rien, n'a rien !

    Je me suis encore lancée un défi, j'ai envoyé un mail à ma revue favorite "Zen Art" pour expliquer ce que je fais...

    Je n'espère trop rien, je verrais bien par la suite.

    Voilà voilà ! 

    Il faut que j'avance, j'ai vraiment envie de travailler de ce que j'aime...

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  • Quand tu crois que ça va mieux, ou un peu mieux, ton angoisse revient au galop...

    Personne n'est là, même pas ta maman...

    Elle est avec une personne qui lui a fait du mal psychologiquement, et elle ne comprend toujours pas qu'il faut vraiment tirer un trait...

    Bref... Ma vie, encore une fois, j'ai l'impression qu'elle est en "suspens", que c'est vide...

    Après, c'est normal en quelque sorte, avec les effets du sevrage... c'est dur ce soir, c'est rude...

    Je me sens si seule... 

    Personne dans ma vie, sauf, bien sûr ma mère. C'est pas facile...

    C'est clair, que je vais aller à l'Olympia à Paris dans plusieurs jours pour revoir Amir, mais ça n'est pas lui qui va soulager ma vie... Quoique ! Ma photo avec lui, c'était si magique... Jamais je n'oublierais ce moment-là... JAMAIS

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  • L'impulsion, ça n'est jamais bon... alors, laisser passez...

    Pulses...

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  • Je me sens tellement mal de nouveau ! Mais c'est en moi... C'est un mal-être de mon sevrage... Encore... Je pleure en moi, et ces pleurs parfois, sortent tellement forts... ça me fait souffrir c'est affreux...

    Satanés médicaments qui m'ont pourri la vie !

    Maintenant, grâce à Dieu et à ma propre volonté, je diminue le dosage. Pour l'instant, je dois toujours rester au 30 mg de Gardénal. Mais dire, qu'auparavant, je prenais les Alepsal...! Mais je me demande encore aujourd'hui comment j'ai pu vivre sans vivre...

    Ca va, j'arrive à supporter. Mais j'ai beaucoup de  nuits blanches en ce moment... C'est vraiment très dur à supporter... Car je suis totalement décalée, évidemment ! Je vis la nuit... Et ça fait plusieurs jours...

    Ma mère, bien malade en ce moment, et moi, comme cela, ça n'est pas très joyeux tous les jours... !

    Le moral est en baisse de nouveau...

    Mais heureusement, j'ai fait une rencontre fantastique grâce à Amir ! Une femme noble, simple, si gentille, à l'écoute de son prochain... Elle sait ce que c'est la vie... Elle m'aide beaucoup, me soutient, m'écoute, tout comme moi pour elle... On se ressemble beaucoup et ça fait tant de biens...

    Sincèrement, je n'aurai jamais imaginé faire une si belle et jolie rencontre :)

    Bon, on est bien loin géographiquement, mais ça, franchement, ça n'est vraiment pas grave !

    Je me dis qu'une amitié comme cela n'a pas de prix... Il faut déjà bien la conserver...

    Si je n'aurai pas été au concert d'Amir, on se serait jamais connues ! Comme quoi, être fan, ça a du bon !!

    Elle m'a remotivée, tout comme Amir :)

    Je compte monter à Paris si j'arrive encore à avoir un billet pour l'Olympia, comme ça, on va pouvoir se rencontrer, et remercier Amir ensemble ! ça serait fantastique !!

    Sinon, je trouverai, on trouvera, il y a toujours moyen quand on veut !

     

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  • Par moments, ça n'est pas facile, vraiment pas facile de se sentir seule quand on est seule...

    Pas beaucoup de motivations, on a besoin d'un moteur qui nous pousse à aller de l'avant  mais qui n'est pas là...

    Par moments, je me sens mal, vraiment très mal...

    Par rapport à ce que j'ai vécu et subit il y a peu de temps tout de même, c'est encore très dur pour moi d'être tombé dans un engrenage tel que la maltraitance psychologique... Etre victime de quelqu'un qui nous ficelle comme lui le veut... Etre victime de quelqu'un qu'on "croit" connaitre par le biais d'internet... Etre victime d'une personne qu'on croit "correcte" ! Mais au final, il s'avère que c'est un manipulateur, un véritable escroc, mais on ne s'en rend pas compte au début... on nous fait croire que tout est beau, on nous embellit la vie, on croit tout à coup que tout est beau est gentil... Mais non... ! C'est un leurre... un vrai leurre... c'est là qu'on est un pantin, on nous tire les ficelles et on ne voit pas tout ça... 

    C'est irréel...

    Un cauchemar...

    Pendant 10 mois ainsi...

    Pendant 10 mois j'ai donné 300 euros, oui 300 euros ! vous lisez bien, vous, lecteurs qui passez... vous ne rêvez pas, j'ai donné de l'argent à quelqu'un que je ne connaissais, ni d’Ève, ni d'Adam ! Quasiment tout mon RSA !

    Je ne vivais de rien... Je ne sortais plus, je me réfugiais dans mon dessin , dans mon coloriage (ce qu'il m'a fait progressé, certes), et d'autres petites choses... 

    Je ne mangeais qu'une seule fois par jour, j'ai maigri, pas beaucoup heureusement, car je suis un traitement par rapport à des médicaments que je prends tous les jours, je suis épileptique, je ne dois pas faire n'importe quoi non plus... Je me sens fragile, et il y a des jours, et des nuits aussi, où je suis véritablement perdue... J'ai perdue le sens de mon existence... Le sens que j'avais entre ma rupture d'un homme et cet escroc...

    Aujourd'hui, j'attends avec impatience mon rendez-vous à un Centre pour pouvoir me faire suivre par rapport à mon anxiété lié à mon épilepsie. J'ai rendez-vous mardi prochain, le matin, j'ai hâte.

                                                                                                                      *

    J'ai des larmes au fond de moi... mais elles ne coulent pas toujours...

    Cette nouvelle année qui débute, j'ai envie qu'elle soit à moi, qu'elle m'appartienne presque ! Le désir profond que le bien m'arrive vraiment...

    Que plein de choses m'arrivent, mais positivement.

    J'en ai trop bavé dans ma vie, vraiment, et je ne le souhaite à personne, même pas à mon pire ennemi si j'en avais un ! Trop de souffrances j'ai vécu et je ne VEUX plus subir de maltraitances en quoi que ce soit...

    Mais mon passé, malgré tout, est devenu ma force, une force, j'en conçois. De plus en plus, et de jour en jours je pense à mes erreurs et mes échecs, je les utilise à bon escient pour ne plus les refaire afin de me sentir mieux et bien. Que mon bien-être soit à peu près équilibré.

    J'ai toujours ces envies de pleurer, c'est ce que j'ai au tréfonds de moi-même, j'ai du mal maintenant à me laisser aller comme avant... J'ai trop souffert, vraiment...

    La prochaine personne, s'il y a, il ne faudra pas que ça aille de travers, sinon elle partira, point bar !

    J'essaye et je fais de mon mieux pour m'accepter tel que je suis, tel que j'étais aussi... Je veux faire partie de ces personnes que l'on n'oublie pas, qu'on ne rejette pas...

    Je m'occupe de mon enfant intérieur précieusement, car, je le crois et le pense, qu'on doit tous en prendre soin, c'est très important ! Personnellement, je le fais, et je prends garde à tout ce que je ressens pour que mon équilibre interne soit au mieux...

     

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  • Il y a des nuits, comme ça, ou des soirées, où je pleure du fond de mon corps. Je ne sais si ça vient de mon sevrage, mais il y a des chances, oui. Mais je pleure de mon existence...

    L'existence, les dernières expériences que j'ai vécu, je me demande au plus profond de moi, qu'est-ce que j'ai fait pour mériter tout ça ? Des leçons de vie, oui, de courages aussi, et de ténacités...

    Je suis ici pourquoi alors ? Je suis sur cette Terre pour transmettre quoi ?

    Ma vision des choses ? Mes expériences passées vécues ? Je pense que oui quelque part.

    Mais en qui faire confiance maintenant ? Vraiment confiance ? Quand tu parles à quelqu'un, tu ne sais pas si cette personne en est digne... Ça n'est pas écrit sur nos fronts. D'où l'audace de se confier tout en étant vigilant...

    Quelque chose s'est cassé en moi, je ne sais mettre un mot dessus, mais c'est là, en moi...

    Il y a quelque chose de vide...

    Comme une désillusion.

    Oui, c'est bien ça.

    Déçue de la nature humaine, vraiment très déçue.

    Mais je crois encore. Je ne cesserai jamais de croire. Si l'on arrête cet espoir, c'est fichu... c'est la fin.

    Je peux paraître une "étudiante" physiquement", mais derrière cette façade se cache une femme décidée, volontaire, mais surtout des années d'expériences et de vécus derrière moi...

    Ne pas se fier aux apparences, jamais...

     

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  • J'ai fait connaissance avec quelqu'un l'année dernière par le biais d'internet, sur le téléphone. « MeetMe » ça s'appelle.

    J'ai fait ça pour le fun, comme ça, sans penser à quoi que ce soit, sans aucun but.

    On s'est dit « bonjour » au petit matin puis on s'est parlés pour se dire à plus tard, le soir pour se découvrir davantage. Le courant est passé immédiatement, un feeling était là.

    Il m'a mise en confiance peu à peu, petit à petit, et au fur et à mesure des jours...

    On s'est beaucoup parlés, je lui ai parlé de toute ma vie à force des jours qui s'écoulaient, je lui disais vraiment beaucoup de choses de moi...

    Lui ? Pas trop non. Mais à chaque fois que je lui demandais de me parler de lui, il esquivait et me disait que le passé appartenait au passé, et qu'il ne voulait en parler car cela remuerait des choses en lui...

    Maintenant que je repense au début, je ne le connais pas en fait... je ne sais rien de lui...

    Au départ, j'étais méfiante, réticente et sur la défensive, mais il a réussi à casser une barrière en moi pour que je puisse m'épancher et m'ouvrir... Il m'a mise en confiance, en étant « sincère » et « honnête » !

    Naïve je le suis mais je suis loin d'être aussi bête !

    Je me suis fait avoir...

    Il me racontait qu'il était au Bénin, à Porto-Novo, pour et à cause de son travail, me disant qu'il était dans le commerce, et achetait des marchandises pour son magasin qu'il tient... il me montrait des sculptures, objets, des choses assez cultes de l'Afrique.

    J'ai gardé ces photos.

    M'avouant un soir qu'il avait eu un accident avec la voiture, avec son courtier qui est du pays, ils ont touché, percuté une jeune fille qui a dû être hospitalisée d'urgence...

    Toute cette histoire a duré plus d'un mois, j'ai compati et je l'écoutais patiemment.

    Et il a choisi un moment opportun pour me demander si je pouvais l'aider...

    Il voulait savoir également ma situation financière.

    Je n'ai rien suspecté.

    Je lui faisais confiance.

    J'étais avec lui mais sans être avec lui puisqu'on ne s'est jamais vus, à part des photos...

    On s'est plus, vraiment, encore plus avec nos visages.

    Et peu à peu, jour après jour, ma descente aux enfers était là sans que je ne le vois, j'étais totalement « aveuglée »et conquise par cet homme, par ce qu'il représentait pour moi, et ce que je représentais pour lui...

    Je croyais l'aimer alors qu'il profitait de moi déjà, dans tous les sens du terme...

    Il me demandait si je ne pouvais pas l'aider « un peu » avec mon petit Rsa !

    J'étais d'accord bien sûr, je voulais l'aider, j'étais de tout cœur avec lui !

    J'étais trop bonne... Ma naïveté et mon innocence en ont pris un sacré coup !!

    On a eu de sacrés points communs, trop de similitudes, de goûts que ça en devenait vraiment troublant, vraiment trop troublant même...

    De là, on s'était dit qu'on était vraiment fait l'un pour l'autre et que rien ne nous séparera... mais la distance nous séparait !

    A parler souvent des sentiments, il a trouvé ma faille, ma faiblesse...

    Il connaît tout de moi, de A à Z, mon passé, mon présent, avec plein de détails que je m'en souviens encore.

    Car je suis malade, il le sait d'ailleurs. Je suis épileptique depuis l'âge de 9 ans, et maintenant, je suis en cours de sevrage, je diminue de plus en plus le dosage de mes médicaments, j'ai dû les changer en cours de route pour en prendre d'autre. Cela me rend très lucide, et ce n'est pas tous les jours faciles d'ailleurs. Je me souviens de tout à force, de jour en jour, je réagis promptement parfois...

    Bref, il sait tout.

    Au fur et à mesure des mois, il voulait « son » argent, comme si c'était le sien ! Mais moi, je commençais à ne plus vouloir, à ne plus pouvoir... car ce qu'il me restait, ce n'était rien en fait, je lui donnais quasiment tout mon argent... je ne vivais plus... je ne sortais plus... je ne mangeais plus beaucoup... je m'enfermais...

    J'ai maigri...

    Je mangeais mais très mal... je me disais « il y a pire que moi dans ce monde »...

    Je me disais aussi que j'avais le droit de me plaindre !

    Il appuyait si souvent sur les sentiments pour que je puisse lui donner encore et encore...

    Maintenant, je rigole... mais je rigole jaune bien sûr... car il s'est bien foutu de ma gueule !! pendant presque un an !!

    En fait, tout ce qu'il voulait, et de plus en plus, c'était mon argent mais plus moi...

    Alors qu'il me disait le contraire !

    Je m'en suis rendue compte à mes ressentis.

    Je n'aimais pas du tout ce que je ressentais, c'était très néfaste ce que je gardais en moi... Je n'osais en parler à personne, même pas à ma mère... J'avais honte, si honte... Mais ce n'est pas moi qui aurait dû avoir honte ! Mais lui !

    J'avais peur aussi...

    J'avais de nouveau cette peur que j'ai connu , en moi...

    Je me disais « NON » ce n'est pas possible, ce n'est pas moi tout ça... j'en ai trop bavé dans ma vie déjà... ce n'est pas lui qui va m'apprendre quelque chose... certainement pas !

    Mais tout ceci m'a rapproché de ma mère... Il y a eu du bon...

     

    Quelque chose m'avait mise en éveil, c'est qu'il avait un mauvais réseau là-bas, au Bénin, et cette distance, ces moments, ces soirées où je l' « attendais » (que ça me rendait malade aussi!), j'ai appris beaucoup de choses... mais aussi je me retrouvais enfin avec moi-même !

    Ces derniers mois, on ne se parlait plus, voir quasiment plus...

    Alors, là, je n'ai pas hésité, j'ai pris le taureau par les cornes, et j'ai tout stoppé !

    Désinscription de Skype, numéros que je bloquais sur mon téléphone, le très peu de fois qu'il me téléphonait c'était en coup de vent... Bref, tout ça avant que je puisse avoir mes sous de nouveau !!

    On ne m'aura plus deux fois, c'est bon, j'ai compris !!

    Mais lui continue tout de même à me contacter, pour lui rien n'est fini.

    Et un jour, un soir où ma mère rentrait comme d'habitude, accompagnée d'un ami, lui, est venu me parler, ça l'a révolté, car ma mère n'osait plus me parler, elle gardait tout en elle, elle se sentait si mal pour elle, pour moi... alors qu'elle a ses propres soucis elle aussi...

    Cet ami, qui est proche de nous maintenant, a débloqué cette situation.

    Il m'a ouvert les yeux, me disant que cet homme, cet « Antoine Besson » est un profiteur et un manipulateur.

    On était en larmes pendant un bon moment...

    Grâce à lui, et grâce à cette soirée-là, qui, maintenant, est gravée en moi, et en nous...

    Il m'a parlé avec son cœur, son énergie et sa fougue, car il a vécu une situation presque similaire avec une de ses filles qui a mon âge.

    Je ne saurais jamais comment le remercier du fond de mon cœur...

    C'est un homme comme on en trouve peu...

     

    En tout les cas, l'homme qui a profité de moi je l'ai oublié, pour moi c'est loin maintenant !

    Mais il continue à me contacter ! Il a rien compris de mon long mail ! Que tout est fini.

    Certes, j'étais un peu trop gentille dans mes mots, mais j'étais très claire, franche et direct.

    A cause de lui j'ai passé d'affreuses nuits blanches !! A cause de lui, ma vie a changé sur beaucoup de choses... En mal oui c'est certain... En bien aussi malgré tout... J'ai compris énormément de choses...

     

    Aujourd'hui, j'avance, je vois devant moi, j'ai plein de désirs et de projets que je concrétise.

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  • Une mère disant à sa fille de 40 ans... : "Tu n'as encore rien vécu dans ta vie...", comme ça, elle dit ça comme ça, d'un tel ton ! Comme si elle pouvait crever la fille... !

    Choc... !

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  • Je sais maintenant, avec tout le recul que j'ai, en bougeant vraiment beaucoup, en faisant, par commencer, du jogging, ce que je n'avais jamais fait auparavant, en faisant MES démarches, celle que je devais faire, par MOI-MÊME.

    Je sais maintenant, en restant seule, vraiment seule, je suis bien... Je commence à être seulement en paix à l'intérieur... Vous savez, cette paix que vous cherchez?? Et bien je l'ai trouvé, ça y est... c'est en prenant sur moi, à ne pas craquer forcément, que mon chemin se trace... 

    Je vois mon avenir se dessiner, tout doucement vers la lumière, MA lumière!

    Et c'est le soir, où je trouve un peu plus mes mots, là où je suis un peu plus "lucide", plus "concentrée", plus "extravertie" je vais dire :)

    Et c'est ce soir, que j'ai commencé mon sevrage des médicaments que je prends : "ALEPSAL", un traitement que j'ai eu depuis l'âge de 9 ans... 

    Je n'enlève pas beaucoup comme me l'a dit ma neurologue, 5 mg. Donc maintenant, j'en prends 95 mg, je me demande comment réagira mon corps! Je verrais dans les prochains jours...

    J'arrive à me projeter maintenant... seulement maintenant...

    Ce besoin d'écrire m'est nécessaire, mais je parle aussi... Je parle avec ma mère comme je ne l'avais jamais fait... Elle en est surprise d'ailleurs... Et contente :)

    Car je ne lui avait pas fait de cadeaux auparavant! Toujours à lui dire quelque chose! Alors qu'à la base je n'étais JAMAIS comme ça! Même étant plus jeune...

    Il a suffit que je passe "un cap" pour vraiment réaliser et comprendre ce qu'il y a tout autour de moi ! Et parler surtout ! A force de ne jamais rien dire, je m'enfonçais dans le silence. J'avais tellement l'impression d'être un pot de fleurs ! 

    Et c'est maintenant que je m'ouvre doucement mais sûrement, comme une fleur qui s'ouvre à l'aurore... Pétales après pétales...

     

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  • Courir après le temps... courir pour guérir... courir pour se défouler... courir pour oublier sa peine et ses blessures... courir pour avancer... courir pour voir l'avenir... courir après "sa" lumière !

     

     

     

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